Le voilà le tant attendu premier album des Klaxons, énorme buzz de ces derniers mois des deux côtés de la manche, groupe étendard de la génération fluokids, héraut d'une partouze géante entre rock, électro, pop et punk.
Ils sont jeunes, ont de l'énergie à revendre et ça se sent: joué à fond la caisse, pied au plancher, Myths of the near future ne déçoit pas. Ce qui est déjà une grande victoire compte tenu de tous les espoirs placés en eux. Difficile de dire si c'est un grand album (pas assez de recul), mais en attendant ne boudons pas notre plaisir. L'album se termine par Four horsemen of 2012: je ne sais pas si on parlera encore d'eux dans 5 ans, mais s'il y a bien un groupe sur lequel il faut miser, c'est eux.
Ils sont jeunes, ont de l'énergie à revendre et ça se sent: joué à fond la caisse, pied au plancher, Myths of the near future ne déçoit pas. Ce qui est déjà une grande victoire compte tenu de tous les espoirs placés en eux. Difficile de dire si c'est un grand album (pas assez de recul), mais en attendant ne boudons pas notre plaisir. L'album se termine par Four horsemen of 2012: je ne sais pas si on parlera encore d'eux dans 5 ans, mais s'il y a bien un groupe sur lequel il faut miser, c'est eux.
Klaxons sur Myspace
1 commentaire:
C'est marrant les premiers singles donnent l'impression d'avoir été réenregistrés. Quel disque ! "Two receivers" avec son beat cradingue et ses guitares acides comme du citron vert génétiquement modifié, vaut son pesant de cacahuètes.
Enregistrer un commentaire